Tu te branles souvent branlée,branler encore et encore à la maison, en cachette, en regardant mes vidéos.

Voilà, je m’appelle Nadalituude et je suis une salope qui aime les mecs et le cul. J’aime qu’on me mate et, surtout, j’aime sucer et avaler le foutre. Je ne suis pas farouche. Le nombre de mecs ne me fait pas reculer. Mais il y a petit hic : mon mec n’en sait rien ! À l’occasion d’un salon loin de chez moi, j’ai fait un covoiturage avec un mec qui avait l’air d’avoir de gros besoins en des conversations du cite qui s’est vite dirigée sur nos fantasmes. J’en ai profité pour tout lui dire. Il me plaisait. Il avait envie de mater et envie de faire ! Dès que j’ai eu un moment de libre, je l’ai écris... Je lui ai donné mes disponibilités, il s’est démerdé pour nous trouver un endroit et des partenaires discrets. C’étaient principalement des EKLAHISTORIENS… Ainsi, j’étais sûre de ne pas les croiser dans ma vie. J’aimais beaucoup nos rendez-vous… Mais j’aime aussi laisser place au hasard. Enfin, je le provoque un peu. Et ensuite, j’envoie des photos à mon amant du cite qui aime mater et ce branler du cite en des petits films devant sor ordi.... C’est comme un défi ! Voilà comment je provoque ma chance. Je me balade en tenue de gala, le grand jeu : jupe courte,en carreau rouge et blanc, talons, chemisier transparent. J’explique à mon lui que j’ai des couilles à vider en fin de journée, je monde dans le bus  sans oublier mon petit téléphonne portable et dès que je vois ce qui me plaît, je descends  en prenant bien soin de me faire mater par tous les mecs qui se trouvent là… Et la magie opère ! .Oui Je lui ai souri et je lui ai demandé s’il connaissait la rue de... Il m’a dit qu’il ne savait pas, mais qu’il allait demander à son ami. Je l’ai suivi en sous-sol. J’ai descendu les marches une à une. Il faisait sombre, je commençais à être excitée. Je me sentais curieuse… Allais-je y passer ou non ? Il a ouvert une porte devant nous. Là, il y avait trois autres mecs. Leurs yeux étaient rivés sur ma tenue, sur mon corps.

Il s'incrute,le pervers du cite veut que tu dessine un plan sur ton portatable de leur demander si il était des pros ?!.

Ils étaient bien trop polis ces garçons ! Je leur ai demandé, ce sont des pros après tout ! Ils m’ont invitée à m’asseoir. Ils ont sorti leur bite « Mais comment on fait pour bien sucer tous de bien les faire voir le plafond ? » ai-je demandé, innocente… L’un d’entre eux, plus entreprenant, m’a fait monter sur la table pour que j’essaie . Ils étaient tous les quatre assis autour de la table, les yeux en l’air, rivés sur ma culotte. J’ai fait mine de faire un écart et de perdre l’équilibre. Un gars m’a attrapée fermement par les jambes pour m’immobiliser. Je l’ai remercié. Je sentais ses mains rugueuses sur mes bas. Un autre s’est enhardi : « Moi aussi je vous tiens ! » Une main est montée au-dessus de mes genoux. Ma foune mouillait. L’obscurité m’excitait. J’étais là, debout sur une table avec quatre mecs qui se mettaient à me peloter. Quelqu’un a allumé la lumière. Deux paires de mains sont montées directement sur mon string qui a été écarté d’un seul geste. Des doigts me pénétraient. J’ai écarté les jambes. Ils ont rallumé. J’étais jambes écartées, toujours debout sur la table. Il y avait même une tête sous ma jupe ! Une langue est venue. C’était bon ! Elle cherchait mon clito. Ils savaient que je venais pour ça, que j’étais une fille facile. J’étais bien. Je commençais à trouver ce jeu très excitant. Je voulais que ça continue. j'ai demandé à un des gars de fermer la porte à clef. Là, j’étais sûre que j’allais prendre cher. Je tenais la tête du garçon entre mes jambes. Je mouillais, et pendant ce temps les autres se mettaient à poil. J’ai entendu dire : « On va la défoncer cette pute ! »Il s'incrute,le pervers du cite veut que tu les suce à un plan sur ton portatable

Je ne savais pas comment m’y prendre. Ils ont piloté… Ils m’ont attrapée et m’ont posée sur une plaque de polystyrène. Je me suis mise à quatre pattes. Chacun leur tour, ils m’ont fait sucer leur bite. Certaines étaient énormes. J’avais du mal à bouffer tout le gland ! Une queue s’est insinuée entre mes jambes. Très dure. Un beau morceau et il allait me la mettre le gars ! Je l’ai chopé pour le diriger dans mon entrée. D’un coup, il était en moi. Que c’était bon ! «Il s'incrute,tu aimes ça, le marteau-piqueur ...27 centimètres ma petite chatte? »

Ils m’ont soulevée, j’étais debout avec toujours une bite dans la chatte. Une autre queue s’est approchée de mon petit trou du cul. Le mec m’a graissé la raie avec je ne sais quoi, et je me suis laissé faire, je n’avais d’yeux que pour celui qui me baisait la chatte de toute façon, c’était si bon. Le gros gland est entré dans mon cul, tout doucement. Bientôt j’ai senti ses couilles ballotter contre mon fondement. Là, c’était la grosse défonce ! J’ai fermé les yeux et me suis laissé aller. Deux autres bites sont venues contre mon visage. Je les ai branlées et sucées alternativement. Les deux autres mecs étaient perchés sur la table ! L’un des mecs a prévenu qu’il allait cracher. L’autre avait l’air d’en être au même point… J’ai ouvert la bouche, ils se sont branlés, et j’ai pris une douche de sperme. J’ai pris tellement de semence dans la gueule que j’ai eu du mal à tout avaler ! Les deux autres ne perdaient pas le rythme. Les coups de reins se sont accélérés. L’un d’eux a dit : « On change, ça vient ! » La très grosse bite est venue dans mon cul, mais c’est entré sans problème ! J’aurais voulu que ça ne s’arrête pas ! Mais les râles sont venus… J’étais vannée ! Un mec m’a montré sa grosse bite, « tiens, tes justifs, salope… » . Maintenant, je n’arrête plus,je le suce . J’aimerais ne faire que ça, tous les jours ! Moi que tout le monde prend pour une bourgeoise prude, névrosée et frustrée !«Il s'incrute,tu aimes ça, cochonnnnee!!!! ...oui ma petite chatte en des centimètres ? ...Raconte-moi la suite en tes rencontres folles se succèdent»